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144 Les BOURGEolSES’nr iviunson.. Je désire que nous soyons bons amis, et.que nous mettions un peu ensemble nos deux cervelles pour une vengeance de ce teigneux, de ce calleux de eraqueur, Photo de la Jarreziére.

cA1Us.-Palsambleul de tout mon cœur. Il m’a promis de me mener la où est Anne Page. Palsamhleu, il s’est trop moque de moi.

Evans.-Je lui fendrai sa cahoclie. Venez, je vous prie. (Ils sortent.)

scène II

La grande rue de Windsor.

Entrent MISTRIS PAGE nr ROBIN.

ursrmss PAGE.-Allons, marchez devant, mon petit gaillard : vous aviez le poste de suivant, mais vous voila devenu’guide. Qu’aimez-vous mieux de me montrer le chemin, ou de regarder les talons de votre maître ? noisnv.—J 'aime mieux, ma foi, vous servir comme un homme, que de le suivre comme un nain. MISTRISS PAGE.—Oh ! vous êtes un petit ilatteur : je le vois, vous ferez un courtisan.

(Entre Ford.)

roan.-Heureuse rencontre, mistriss Page ! en allez» vous ?

ixnsnuss Paola.—Eli ! vraiment, monsieur, chez votre femme. Est-elle au logis ?

sono.-Oui, et si clés œuvrée qu’elle pourrait vous servir de pendant pour le besoin de société.—Je pense que si vos maris étaient morts, vous vous marieriez toutes les deux.

nnsfriuss PAGE.—SOYBZ-EH sur, à deux autres maris. sono.—Ou avez-vous fait l’emplette de ce joli poulet ?misriuss Places-Je ne peux pas me rappeler le maudit nom de celui qui l’a donne il mon mari. Comment s*appelle votre chevalier, petit ? '

nonm.-Sir John Falstaflî