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124$ LES BOURGEOISES DE WINDSOR.

l’cei1 ouvert ; car les voleurs cheminent de nuit : prends tes précautions avant que Pete arrive ; car alors les coucous commenceront a chanter»-Venez, sir caporal N ym.—Croyez-le, Page, il vous parle raison. (Pistol sort.)

sono.—J’aurai de la patience. J’approfondirai ceci. Nvm.-Et c’est la vérité. Je n’ai pas la chose de mentir. Il m’a oiïensé dans des choses. Il voulait que je portass sa bhose de lettre, mais j’ai une épée, et elle me coupera des vivres dans 1na nécessité. — Il aime votre femme : c“est le court et le long déla chose. Je me nomme le caporal Nym ; je parle et je soutiens ce que j’avance : ceci est la vérité ; je me 1101111110 Nym, et Falstaff aime votre iemme. Adieu ; je n’ai pas la chose de vivre de pain et clé fromage, voila la chose. Adieu. (Nym sort.)

PAGE.-Voilà. la cl1ose, 'clit-il. Ce gaillard-la a un grand talent pour mettre les choses åt rebours du bon sns. Fono.-J e prétends trouver Falstaff. PAGE.-Je n’ai jamais vu un flrole si compassé et si affecte.,

rom).-Si je découvre quelque chose, nous verrons.

meta.-Je ne croirais pas u11 tel hâhleuri, quand le

curé de la ville me serait caution de sa sincérité. roue.-Celui-ci m’a tout Pair d’un honnête homme et d’un homme de sens. Nous verrons. PAGE, it sa femme.-Ah ! te voilà, Megi ? išnsrnxss PAGE.-Oii allez-vous, George ?-*Écoutezimsriuss Form, it son mari. -Qu’ost-ce, mon cher Frank ? Pourquoi êtes-vous mélancolique 'Z' rom).-Moi mélancolique ! Je ne suis point mélancolique.—Betournez au logis ; allez ;,

iusrmss rom).-Oh ! surement, vous avez en ce moment quelques lubies en tête. — Venez-vous, mistriss Page ?

mrsrmss Plxeefle vous suis.-Vous reviendrez dîner, 1 Catalan, voyageur revenant du Catai. C’était le nom qu’on donnait aux menteurs.

2 Diminutif de Marguerite.

— I