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, .... } liers DEUXIÈME ›........ SCÈNE I Devant la maison de l’âge. Entre mistfriss PAGE tenant une Iettref Mlstmlss 1>.xGE.fQuoi ! dans les jours brillants de ma beauté, j’aurais échappé aux lettres Cl., îï.lTloll1`, et aujourd’hui je m’y trouverais exposée. Voyons. (Elle ilit.) == Ne H me demandez point raison de l’amour que je sons « pour vous ; car, quoique l’amour puisse appeler la raison pour son directeur, il ne la prend jamais pour son il conseil. Vous n’êtes pas jeune, -je ne le suis pas 11011 « plus. Voilà que la sympathie commence. Vous êtes « gaie, je le suis aussi. Hart ha ! nouveau degré de sympathie entre nous. Vous aimez le vin c1“Espagne, j 'en «I fais autant. Pourriez-vous souhaiter plus de synipzv « thie ? Quäl te sufïise, mistriss Page, du moins si l’amour (l’un soldat peut Le suiiire, que je t’ainie. Je no « dirai point : Aie pitié de moi, ce n’est pasle style d*un « soldat ; mais je dis : Aime-moi.-Signé, * « Ton dévoué chevalier ' « Tout prêt pour toi à, guerroyer « De tout son pouvoir ; <¢ Le jour, la nuit, « Ou li quelque lumière que ce soit, 2 « JOHN FALs’ru-F. » Quel vilain juif ; Herode ! O monde, monde pervers ! Un homme presque tout brisé de vieillesse ? vouloir se