Ma fille, persévère dans ces sentiments.
Considère ce gars du Devonshire, agréable et aimable, qui a la bourse aussi replète que la personne.
Dame, monsieur, ze suis tel que le Seigneur m’a fait. Vous me connaissez suffisamment ; z’ai soixante ballots de drap, et Blackenhall, et en outre un grand crédit, et ze puis prospérer aussi bien qu’un autre.
C’est vous que j’aime, quoi qu’en puissent dire les autres.
Merci !
Quoi ! tu veux que je lui cherche querelle ?
Dites-lui seulement qu’il aura de vos nouvelles.
Pourtant, messieurs, quelle que soit ma préférence pour ce galant du Devonshire, je ne prétends nullement forcer un cœur. Ma fille aura pleine liberté de choisir pour époux celui qu’elle préfère. Continuez de lui faire votre cour, mais songez qu’un seul d’entre vous peut réussir.
Vous avez bien parlé, parfaitement parlé, en vérité.
Mademoiselle, il y a là quelqu’un qui voudrait vous parler ; mon camarade Asphodèle l’a déjà introduit dans le cellier ; il le connaît pour l’avoir rencontré à la foire de Croydon.