Qu’aucune étoile ne soit sombre pour toi !
Que le ciel et la terre — te soient pour toujours propices !
À tous les souhaits de bonheur — qui pleuvent sur ta tête, je crie Amen !
— Les dieux impartiaux qui du haut des cieux — nous voient, nous, leur troupeau mortel, reconnaissant ceux qui s’égarent — et les châtient à leur heure… Allez chercher — les ossements de vos rois morts, et honorez-les — d’une triple cérémonie ! Plutôt que de permettre qu’il y ait une lacune — dans les pieux rites, nous y suppléerions nous-mêmes. — Nous allons choisir les députés qui doivent vous réintégrer — dans vos dignités et achever l’œuvre — que notre hâte laisse imparfaite… Sur ce, adieu, — et que les yeux favorables du ciel se fixent sur vous !
Quels sont ces prisonniers ?
— Des hommes de haute qualité, comme on en peut juger — par leur équipement. Des gens de Thèbes nous ont dit — qu’ils sont les enfants des deux sœurs, les neveux du roi.