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ture par un petit nombre de réflexions, qui suffiront avec les Notes que j’ai répandues par-tout où je les ai jugé nécessaires, pour lever les scrupules de tout Lecteur attentif & judicieux.

i. Il n’est question dans cet Essai que de la Vertu morale ; de cette Vertu que les Saints Peres mêmes ont accordée à quelques Philosophes Payens. Vertu que le Culte qu’ils professoient, soit de cœur soit en apparence, tendoit à détruire de fond en comble, bien loin d’en être inséparable. Vertu que la Providence n’a pas laissée sans récompense ;