d’enthousiasme que suscite parmi les individualistes la révolution de M. Méric. L’ordre présent nous écrase, nous traque, nous tue. L’ordre Révolutionnaire nous écrasera, nous traquera, nous tuera. — Le parti peut compter sur notre concours.
Mais le citoyen Méric continue de mieux en mieux. À la page 22 nous constatons l’existence de deux comités, d’une armée et d’une police révolutionnaires. On exécutera les rebelles (sic, sic, sic). N’est-ce pas que c’est intéressant ?
Les syndicats « ordonneront à tous de se mettre au travail »… Sinon gare ! Après quoi on nommera un parlement ouvrier (re-sic) qui « n’aura rien de commun avec le parlementarisme odieux d’aujourd’hui ». J’ te crois ! Au surplus, on l’a constaté déjà, ce charmant petit régime n’aura rien de commun avec l’abominable oppression bourgeoise.