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Vous avez bien tort de ne pas aimer Sypar. Si vous saviez toutes les difficultés qu’elle a dû vaincre pour être ce qu’elle est, vous auriez plus de considération pour elle. À tout prendre, je crois avoir été un grand jobard avec elle, mais je crois avoir plus gagné à faire ce que j’ai fait qu’à la traiter comme une aiguille. Adieu, je vous en écrirai plus long quand j’aurai moins mal à la tête. Ne parlez pas de Sypar dans les lettres que vous écrirez à d’autres qu’à moi.

Ci-jointe une lettre de Mlle Mammoutte[1].


  1. Mlle Cuvier.