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émile verhaeren

Et ses frères, injure et fange ;
Seigneur, assiste-le dans sa rouge agonie
Avec tes anges !



Œuvres à lire d’Émile Verhaeren (Hochstein, Franck, Deman, Bruxelles, et Lemerre, Société du Mercure de France, Paris, éditeurs) : Les Flamandes (1883) ; Les Moines (1885) ; Les Soirs (1887) ; Les Débâcles (1888) ; Les Flambeaux noirs (1891) ; Au bord de la Route (1891) ; Les Apparus dans mes chemins (1891) ; Les Campagnes hallucinées (1893) ; Les Villages illusoires (1895) ; Les Villes tentaculaires (1895) ; Les Heures claires (1896) ; Les Visages de la vie (1899) ; Les Petites légendes (1901) ; Les Forces tumultueuses (1902) ; Toute la Flandre (1904-1907) ; La Multiple splendeur (1906) ; Les Rythmes souverains (1910) ; Les Blés mouvants (1912) ; Anthologie d’Émile Verhaeren (1883-1896). Théâtre en vers : Le Cloître (1900) ; Philippe II (1901) ; Hélène de Sparte (1912). — Critiques à consulter : Virgile Rossel, Histoire de la littérature française hors de France (1895) ; Henri de Régnier, Revue Blanche, tome VIII, (1895) ; Albert Mockel, Émile Verhaeren (1895) ; C. Mauclair, Revue Encyclopédique (24 juillet 1897) ; van Bever et Paul Léautaud, Poètes d’aujourd’hui (1900) ; Hubert Krains, Semaine littéraire (16 et 28 mai 1903) ; Désiré Horrent, Écrivains belges d’aujourd’hui (1904) ; Léon Balzagette, Émile Verhaeren, (1907) ; Raymond Poincaré, Grande Revue (10 mai 1908) ; V. Thompson, French Portraits (1909) ; Jean Cart, Semaine littéraire (9 janvier 1909) ; Rémy de Gourmont, Promenades littéraires (1904 et 1910) et Le Livre des Masques (1906 à 1910) ; Victor Kimon, Portraits d’auteurs (1910) ; Stefan Zweig, Émile Verhaeren, sa vie, son œuvre, traduit de l’allemand par Paul Mousse et Henri Chervet (1910).