de préciser ces caractères soit une de ses tâches les plus pressantes pour l’intelligence du passé de l’Inde.
Je sais quel péril c’est de toucher des idées très générales à propos d’un ordre de faits particulier : trop d’ambition si l’on prétend aboutir à des conclusions rigoureuses ; trop d’indécision si l’on veut demeurer dans la mesure exacte d’une pensée qui n’est point achevée ; d’un côté la critique parfois peu endurante des esprits heureux qu’inspire une foi intransigeante aux formules simplistes et reçues ; de l’autre, la férule des juges pressés d’arrêts amples et définitifs. C’est de quoi conseiller la prudence.
Aussi m’étais-je promis de ne réimprimer cette étude qu’en la fortifiant de quelques aperçus sur d’autres aspects de la vie religieuse de l’Inde ; j’espérais que des uns et des autres se dégagerait