ces détails et pour quelques autres, s’il en avait prévu la publication.
Cette circonstance du tonneau est contestée pour plusieurs raisons.
On a fait plusieurs essais de paroles adaptées à cette marche des pasteurs. Un de ces morceaux, en patois de la Gruyère, contient quarante-huit vers :
Les armaillis di Columbette
Dé bon matin sé son léva, etc.
Une de ces sortes d’églogues, composée, dit-on, dans l’Appenzel, en langage allemand, finit à peu près ainsi : « Retraites profondes, tranquille oubli ! O paix des hommes et des lieux, ô paix des vallées et des lacs ! pasteurs indépendants, familles ignorées, naïves coutumes ! donnez à nos cœurs le charme des chalets et le renoncement sous le ciel sévère. Montagnes indomptées ! froid asile ! dernier repos d’une âme libre et simple ! »
L’auteur ne dit pas expressément ce qu’il entend ici par religion, mais on voit qu’il s’agit en particulier de la croyance des Occidentaux.
À cette lettre était joint ce qui suit : « Le Manuel me fait souvenir de quelques autres morceaux que m’a aussi communiqués le même savant. Ses recherches avaient moins pour objet ce qu’il pouvait trouver précieux que ce qui lui paraissait original ou même bizarre.
« Voici le plus court de ces morceaux de littérature, ou, voulez, de philosophie étrange.