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et non selon leurs rapports accidentels. Du dédain avec lequel la science sans profondeur rejette les erreurs sans y savoir chercher les vérités qu’elles couvrent. De la manière dont le vrai sage étudie la nature et l’homme. Comment les hommes mirent le difficile à la place du bon et changèrent les impulsions utiles en vertus austères. Que tout mal est abus, dégénération ; et que rien peut-être n’a été erroné dans son principe.