SOMMAIRE
De la troisième Rêverie.
. . . . . Tacitum sylvas inter reptare salubres
Curantem quidquid dignum sapiente bonoque est ?
HORACE, Epit. IV.
De la méditation déterminée et de la rêverie. Pourquoi celle-ci est douce et la première pénible. De la facilité que les objets extérieurs donnent à la rêverie, et comment notre situation intérieure est produite par les impressions reçues du dehors. Des effets sensibles que nous pouvons produire sur notre pensée par le plus léger mouvement imprimé à nos organes.
De notre dépendance des lieux et des saisons. Division de l’année solaire en deux parties marquées ; l’une de renouvellement, de développement ; l’autre d’altération, de dissolution. Pourquoi les effets premiers et moyens de ces deux progressions influent davantage sur nous que les effets extrêmes.
Des impressions ineffables du printemps. Des cœurs