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vous que nous allions arracher cette mauvaise herbe pendant qu’elle est toute petite ? — Non, non, mes amis, je vous remercie de votre bonne volonté ; mais j’aime mieux laisser pousser l’ivraie en même temps que le blé, parce qu’à présent le blé est très-jeune et mince, et en arrachant l’ivraie, vous pourriez sans le vouloir arracher aussi mon bon blé ! Quand le blé sera mûr et que la moisson sera faite, alors je dirai aux ouvriers de séparer le blé d’avec l’ivraie ; je ferai mettre le blé dans mes greniers et je ferai jeter la mauvaise herbe dans le feu. »
Quand Jésus eut fini sa para-