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Marie aussi et Cécile aussi. Je t’embrasse tendrement avec les enfans.
Je crois que je me déciderai pour Livet[1].
FIN DES LETTRES DE MA MÈRE
- ↑ Ma mère arriva en effet chez moi à Livet en septembre 1873. Elle y fut bientôt atteinte de violentes suffocations, et revint à Paris, où elle mourut le 9 février suivant, après deux mois d’affreuses souffrances, supportées avec un courage héroïque, au milieu de tous ses enfants et dans des sentiments admirables de foi et d’amour à Dieu. Ces deux mots « Dieu et mes enfants », qu’elle répétait sans cesse dans son agonie, sont bien le résumé et comme l’expression de toute sa vie. C’est par eux que j’ai commencé ce volume et que je le termine.