sur un catafalque de marbre blanc. Une autre partie à Vannes, au collège des Jésuites, où se trouve l’ami de Jacques, le jeune d’H.; les fameuses pierres de Carnac, un régiment romain pétrifié par un miracle d saint Cornélis qu’on poursuivait, etc., etc. —Le bon air de la mer lui fera beaucoup de bien pour le reposer de ses grands travaux d’examen de Pâques. J’écrirai demain aux enfans ; ils doivent être tous bien heureux de te retrouvera Livet; Gaston t’embrasse très particulièrement. Adieu, mon bon Émile, je te renouvelle mes remercimens bien affectueux pour le sacrifice que tu m’as fait ainsi que vous tous; et je t’embrasse de tout cœur avec Olga et les enfans… Henriette vous remercie avec moi; je me porte bien et ma tête se remet de plus en plus… Aux premiers jours d’août, à moins que je ne sois paralysée ou imbécile, ou morte, j’irai chez vous bien certainement; j’irai passer deux fois quelques jours chez Anatole (aux Nouettes), mais mon quartier général sera Livet. Dieu vous bénisse tous et vous garde contre les rouges ! ils sont pis que les Prussiens.
Chère petite, Jacques est arrivé ce matin à onze heures très bien portant, pas trop fatigué, très content de son voyage qu’il a fait en compagnie de trois officiers prisonniers rapatriés qui lui ont