as voulu être en pension !… et voilà ce que tu as gagné à ton pensionnat !
Tais-toi donc, tu m’ennuies ! Est-ce que je savais que ces garçons étaient si méchants !
Qu’allez-vous devenir, mon pauvre monsieur Innocent, avec ces mauvais garnements ? Ils vont vous mettre en pièces.
Le maître a chassé les trois plus méchants ; les autres n’oseront pas ; et puis j’ai des amis qui me défendront contre les grands.
C’est grand qui a fait cela.
Oui, c’est la grande classe.
Coquins ! Grand contre petit ! Lâches ! lâches ! »
Au moment de la plus grande indignation de Coz, deux élèves de la grande classe entrèrent au parloir. Coz s’élança vers eux :
« Vous, quelle classe ? petit ou grand ?
— Grande, comme vous voyez ; nous ne sommes plus dans les moutards.
— Ah ! vous grande ! vous lâches ! vous presser M. Nocent ? Voilà pour grands, voilà pour lâches, voilà pour presse. »