Page:Segard - Hymnes profanes, 1894.djvu/52

Cette page a été validée par deux contributeurs.




Pour perdre ton souvenir
J’ai pris nouvelle maîtresse,
Elle était belle à ravir
Et peut-être m’aimait-elle…

C’est toi que j’aimais en elle !

Le vin pouvait me guérir ;
Pour perdre ton souvenir
J’ai sollicité l’ivresse,
En mon lourd sommeil épais

C’est toi qui m’apparaissais !