Page:Segard - Hymnes profanes, 1894.djvu/47

Cette page a été validée par deux contributeurs.


Or dans mes rêves bien souvent
J’ai chargé la brise légère
D’être l’écho de mon tourment,
Mais cette triste messagère

L’avez-vous quelquefois comprise ?
Et quand vous entendiez tout bas
Les gémissements de la bise,
— Ton cœur ne m’oubliait-il pas ?