Page:Segalen - Stèles.djvu/148

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Et des musiques jouent en l’honneur de mon ombre ; des officiers saluent mon siège vide ; mes femmes apprécient mieux l’honneur des nuits où je ne daigne pas.

Égal aux Génies qu’on ne peut récuser puisqu’invisibles, — nulle arme ni poison ne saura venir où m’atteindre.