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PRINCE DES JOIES DÉFENDUES


Prince, ô Prince des joies défendues, entendez-vous pas ce qu’on chante autour de vous ? « Les quatre coursiers trottent, les rênes flottent : quitter le mal pour le bien serait un nouveau délice ! »

Prince, ô Prince, votre perte est dénoncée. Songez à l’Empire ! Songez à vous !



Le Prince dit : Assez. Mauvais augures ! Je suis à l’Empire ce que le Soleil est au Ciel. Et qui donc s’en irait le dépendre ? Quand il tombera, moi aussi.