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se déroulent de haut en bas : je les ferai pendre à leur tour du haut de cette poutre jusqu’à terre. Celles qui ne se transportent point et ne s’achètent pas (de simples frottis d’or au creux des grottes, des reflets au fond des laques ou des yeux), je vous les livrerai cependant : ce sont des Peintures Magiques. Une autre, seule, s’étalera entre les deux mains qui en disposent : c’est le défilé des Cortèges et le Trophée des Tributs des Royaumes. Mais vous devrez, par vous-mêmes, atteindre pas à pas les vingt fresques Dynastiques, liées chacune à son Palais successif.

Et résolument, ne comptez sur aucun « effet » prévu ; aucun de ces mirages fuyants dont la « perspective » occidentale joue et décide avec sécurité : si les parallèles se joignent ou non à l’infini… (médiocre infini que deux traits piquent sur un point) : si les personnages dessinés ont une dimension dans l’espace, ou deux ou trois… (eh ! c’est l’affaire du bon tailleur d’habits !)