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EURYDICE

vient incliner sa tête près des genoux du Vieillard.

Tu me consoles. Tu me révèles.

Tu me donnes un grand désir… et peur aussi.

LE VIEILLARD

N’aie pas peur. Apaise-toi. On ne meurt plus d’amour parmi les gens que nous sommes. On ne meurt plus d’amour ni de divinité.

Cela serait beau, désirable… Oui, cela serait harmonieux.

Oh ! n’aie pas peur : on ne peut plus mourir ainsi.

Tous deux demeurent longuement pensifs, étouffant un effroi prophétique.

Rideau.