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Alors au paroxysme de la tempête, une immense vague fauve et blanche, — femmes innombrables, ivres et nues sous les dépouilles de renards :
LES MÉNADES EN FURIE
bondissent, brandissant leurs roseaux aiguisés, faisant siffler leurs fouets de vignes et cinglant de leurs sistres avec ce singulier cri :
C’est lui, celui-ci
C’est ici lui, celui-ci
C’est lui, celui-ci
C’est lui
et assaillant toutes Orphée, le submergent, l’entraînent, dépècent sa voix toute vivante.
LE VIEILLARD
qui d’abord s’est jeté dans la mêlée, en est repoussé,