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Le souvenir, ayant pénétré la Montagne, revient, replié sur lui-même, après un grand cercle, vers le Vieillard, vers Orphée.
Tous deux, en un commun recueillement, prolongent au plus profond d’eux-mêmes cet écho.
Respectueux l’un de l’autre, ils n’échangent plus aucun chant.
Mais, dans le lointain de l’espace, un sifflement se darde
(LE VIEILLARD
s’est dressé)
si aigre, si étranger, qu’il semble étonnant qu’il ait percé le formidable calme.