Page:Segalen - Orphée-Roi.djvu/125

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Plus bas ! Ha ! plus bas encore…

Les hommes perdent l’esprit dans ces ténèbres !

Je m’y plonge ! Je me baigne ! Je descends avec délices !

Le bruissement de la LYRE entoure ces paroles de lueurs violettes vite amorties.

Es-tu là ? Pourquoi disparaître et t’enfuir ?

Comme en répons, roulent par la bouche de la caverne des échos attardés de la dispute du Vieillard et des Ombres…

Morte…

— Morte…

tuée par lui…

— Morte par


grand a…

— Morte par

— maléfice !