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M. d’Esparville père.
Avant que j’aie pu rassembler quelques louis, je peux perdre un temps infini.
M. Vanderk père, au domestique.
Retirez les deux sacs de douze cents livres ; voici, monsieur, quatre rouleaux de vingt-cinq louis chacun ; ils sont cachetés et comptés exactement.
M. d’Esparville père.
Ah ! monsieur, que vous m’obligez.
M. Vanderk père.
Partez, monsieur ; permettez-moi de ne pas vous reconduire.
M. d’Esparville père.
Restez, restez, monsieur, je vous en prie, vous avez affaire ! Ah ! le brave homme ! Ah ! l’honnête homme ! Monsieur, mon sang est à vous ; restez, restez, restez, je vous en supplie.
Scène V
M. VANDERK PÈRE, seul.
Mon fils est mort… je l’ai vu là… et je ne l’ai pas embrassé… Que de peines sa naissance me préparait ! Que de chagrin sa mère !…
Scène VI
M. VANDERK PÈRE, des musiciens, des crocheteurs, chargés de basses, de contre-basses.
L’un des musiciens.
Monsieur, est-ce ici ?