Ah, monsieur ! si vous n’en êtes pas, pour quelle raison ?…
Je viens pour parler à monsieur Vanderk.
Lequel ?
Mais le négociant. Est-ce qu’il y a deux négociants de ce nom-là ? C’est celui qui demeure ici.
Ah ! monsieur, quel embarras ! Je vous assure que je ne sais comment monsieur pourra vous parler au milieu de tout ceci ; et même on serait à table, si on n’attendait pas quelqu’un qui se fait bien attendre.
Mademoiselle, monsieur Vanderk m’a donné parole ici aujourd’hui, à cette heure.
Il ne savait donc pas l’embarras…
Il ne savait pas, il ne savait pas… C’est hier au soir qu’il me l’a fait dire.
J’y vais donc… si je peux l’aborder ; car il répond à l’un, il répond à l’autre. Je dirai… Qu’est-ce que je dirai ?
Dites que c’est quelqu’un qui voudrait lui parler, que c’est quelqu’un à qui il a donné parole à cette heure-ci, sur une lettre qu’il en a reçue. Ajoutez que… Non… dites-lui seulement cela.