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Antoine.

Bon.

M. Vanderk.

Je crois que voilà tout… Les magasins fermés… que personne n’y entre passé dix heures… Que quelqu’un reste dans les bureaux et ferme la porte en dedans.

Antoine.

Ma fille y restera.

M. Vanderk.

Non… il faut que ta fille soit près de sa bonne amie. J’ai entendu parler de quelques fusées, de quelques pétards. Mon fils veut brûler ses manchettes.

Antoine.

C’est peu de chose.

M. Vanderk.

Aie toujours soin que les réservoirs soient pleins d’eau.



Scène V


Les mêmes, VICTORINE. (Elle entre et parle à son père, à l’oreille)
Antoine, à sa fille.

Oui. (Elle sort.)



Scène VI


ANTOINE, M. VANDERK.
Antoine.

Monsieur, vous croyez-vous capable d’un grand secret ?

M. Vanderk.

Encore quelques fusées, quelques violons ?