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les défauts de mon langage, comme l’on alloit autrefois corriger à Athènes ceux de la langue asiatique, je ne puis écrire avec la même justesse que mademoiselle de Scudéry et que mesdames Deshoulières, Dacier et de Villedieu, qui sont si dignes du rang que vous leur avez donné parmi vous.
Madame de Saliez mourut a Alby le 14 mai 1730. Elle a laissé plusieurs ouvrages, qui sont : Les Paraphrases sur les Pseaumes, l’Histoire de la comtesse d’Isimbourg, qui a été traduite en plusieurs langues, entr’autres en italien par la princesse Capisati, — les Princesses de Bavière^ Isabelle et Marguerite, — et des Réflexions critiques.