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le lendemain elle y fut enterrée. Plusieurs savans s’empressèrent de faire l’éloge funèbre de mademoiselle de Scudéry ; celui qui nous a paru le plus digne d’elle, est de M. Bosquillon. Nous regrettons que sa longueur nous empêche de le transcrire ici, il se trouve dans le Journal des Savans de juillet 1701.