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À MON MEILLEUR AMI, FREDÉRIC BOURGUIGNON, Membre de l’Académie de Législation.

C’est à toi, mon ami, que mon cœur dédie ce foible essai. Puisse ton amitié, qui embellit ma vie y trouver une preuve nouvelle de mon sincère attachement. En se satisfaisant par cet hommage, mon cœur est loin de se croire acquitté, du bonheur qu’il te doit ; ce n’est qu’en t’aimant avec une tendresse égale à la tienne, que je puis te prouver ma vive reconnoissance.

Léopold COLLIN.