Tu te maries ! à la bonne heure ; car si tu étais resté garçon, nous n’aurions pas pu nous voir ; et même encore maintenant tu pourrais me faire du tort, à moins que tu ne veuilles aussi te jeter dans la réforme.
Laisse-moi donc tranquille.
Il est temps de faire un retour sur toi-même, de renoncer à ces vains plaisirs qui ne procurent jamais qu’une fausse joie, une ivresse de quelques heures, trop souvent expiée par des années de regret et de repentir.
Diable ! comme tu pérores ! À quoi tend ce beau sermon ?
Mon ami, je m’essaie.
Le moment est assez mal choisi : tu as reçu ma lettre ?
Oui, mon ami.
Il s’agit d’un déjeuner de garçons.
Dieux ! si mes comtesses du faubourg Saint-Germain venaient à le savoir ! je serais perdu. Je me sauve.
(Fausse sortie)