Précisément.
Et son mari, M. de Brienne, un ancien militaire.
Je l’ai perdu, Monsieur.
Ô ciel ! vous êtes veuve ! (À part.) Il ne manquait plus que cela !
Je suis bien sensible, monsieur, à l’intérêt que vous daignez prendre…
D’autant que nous aurons besoin de vos avis ; car la mort de monsieur de Brienne la laisse dans une situation…
Élise !
Oui, sans doute… nous verrons… nous en causerons… Moi, j’ai fort peu de protection ; je n’aime pas à demander ; je ne dis pas cependant que si l’occasion se présente… Voici une nouvelle loi, une loi d’indemnités qui, peut-être, vous concerne, ou, du moins, monsieur de Brienne ; c’est à vous de voir cela…
Non, monsieur, mon mari était le dernier enfant d’une famille nombreuse ; et comme il n’avait rien avant la révolution, comme il n’y a rien perdu, il n’a rien à réclamer.