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et en me parlant du salon, monsieur me l’avait fait oublier.

POLIGNI, vivement.

Quoi ! je serais assez heureux !…

DORBEVAL.

Assez heureux !… je te dis que tu l’es trop. Allons, donne-lui la main, et partons ; moi, je suis le surveillant, le tuteur, c’est mon emploi ! (À madame Dorbeval.) Adieu, chère amie, je vous laisse dans les expansions du sentiment. Je vais au salon, de là à la Bourse, m’occuper de mes intérêts et de ceux de Poligni, et j’aurai mené de front, dans ce jour, les affaires, les plaisirs, l’argent et l’amitié.

(Poligni, Hermance et Dorbeval sortent par la porte du fond, madame Dorbeval rentre à gauche dans son appartement.)

FIN DU PREMIER ACTE.