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environs viendra réclamer l’hospitalité au nom de saint Julien d’Avenel.
MARGUERITE.
Qui vous l’a dit ?
ANNA.
Tu le feras entrer et tu tâcheras qu’on lui donne cet appartement.
MARGUERITE.
Oui, mademoiselle, oui, soyez tranquille ; je l’attendrai, s’il le faut, toute la nuit. Pour vous et pour Julien qu’est-ce que je ne ferais pas ?
ANNA.
Pars. C’est Gaveston.
MARGUERITE.
Adieu ! adieu, mon enfant.
(Elle sort.)
Scène III.
ANNA, GAVESTON.
GAVESTON.
Ah, ah ! miss, vous n’êtes point encore retirée dans votre appartement ?
ANNA.
Vous le voyez. Je causais avec Marguerite.
GAVESTON.
Qui sans doute vous racontait, comme hier, des histoires de revenans et de la dame blanche ! Se peut-il, miss Anna, que vous ajoutiez foi à de pareilles rêveries ?
ANNA.
Moi !