ne t’y inquiète de rien… je suffirai à tout… Adieu, je rentre.
Pour travailler ?
Oui…
Surcroît de peine…
Surcroît de plaisir… car c’est pour nous deux…. Je ne suis visible pour personne… entends-tu ?… que pour la marquise de Suntherland.
Scène III.
Oui, Japhet, oui, mon frère… (Vivement.) Rester tranquille, ne m’occuper de rien, quand il se tue pour moi ; non, ce ne sera pas ainsi ; non, M. le marquis… non, M. le duc… car avec un cœur comme celui-là… il doit l’être ! il est impossible qu’il ne le soit pas… Eh bien ! puisque ça le fâche… puisque ça le contrarie, je ne lui parlerai plus de mes démarches, j’agirai sans rien dire… Mais, par amitié, par amour propre, et pour mon honneur à moi, je veux découvrir sa noble famille… je veux lui trouver un père…. et je lui en trouverai un, aussi bien conditionné que possible… Je sais bien, qu’il aurait pu me répondre… mais il n’a pas voulu me le dire de peur de m’humilier : Mon pauvre Tim, travaille d’abord pour toi--