destement de ta poche gauche de votre gilet des couplets pleins de grâce, d’énergie, de sensibilité…
Et où voulez-vous que je les trouve ?
C’est là que je vous attendais. J’ai bien pensé à votre embarras ; et sans vous en prévenir, je vous ai fait une chanson : c’est elle que je vous apporte.
Comment, monsieur, vous auriez eu la bonté, et sans me connaître…
Oh ! je suis plus votre ami que vous ne croyez ; mais je comptais, moi, arriver là sans façon, et me déclarer au moment du dîner : c’est dans ces momens-là qu’on connaît ses amis, ses vrais amis.
Je vous avoue que je ne reviens pas encore d’une telle attention.
Laissez donc : moi, j’aime les noces de passion, et il suffit de l’aspect d’une noce pour me mettre en verve.
Oui, je l’avouerai sans détour,.
J’aime ce jour
De plaisir et d’amour ;
Loin d’être ennuyeux,
À mes yeux,
Ce vieux tableau
Paraît toujours nouveau.