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Scène XIII.
FLORVAL, seul.
La méprise est sans pareille ! Je vais faire une peur à Scudéri… Je le connais : il se fâchera, puis s’apaisera ; mais sa sœur… comment la contraindre ?… Oh ! l’excellente idée !… Puisqu’ils travaillent à leur tragédie, ils doivent l’avoir avec eux… Je les tiens ; et ce qu’ils refuseraient à leur neveu, il faudra bien qu’ils l’accordent à son altesse. (On entend les premières mesures de l’air : Cocu, cocu mon père.)
Scène XIV.
FLORVAL, SCUDÉRI, mademoiselle SCUDÉRI,
BERTRAND, BABET, BASTIEN, voisins et voisines,
plusieurs villageois armés de fourches, de bâtons,
de vieilles carabines, etc.
(Ils entrent sur l’air : Cocu, cocu, etc.)
BERTRAND, BABET, BASTIEN, voisins et voisines,
plusieurs villageois armés de fourches, de bâtons,
de vieilles carabines, etc.
BERTRAND.
Monseigneur, je vous annonce votre armée.
FLORVAL, s’asseyant.
Faites entrer.
BERTRAND.
Par ici.
FLORVAL, à la reprise.
Bataillon intrépide,
Que l’honneur seul vous guide.