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BERTRAND, à Florval.
Mon capitaine, est-ce que vous comptez rester là ?
FLORVAL.
Sans doute.
BERTRAND.
Mais ces nouveaux voyageurs ?
FLORVAL.
Fût-ce le diable, je ne me dérangerais pas ; j’ai établi ici mon quartier-général, et j’y reste. Mais j’entends du bruit ; ce sont eux. (Il s’approche de la porte.) Voyons donc ces nouveaux hôtes. Qu’ai-je vu ? en croirai-je mes yeux ? Scudéri ! Qui peut l’amener ? saurait-il… (À Bertrand.) Si par hasard… parle-lui… dis-leur… Non, non, tais-toi et ne dis rien.
(Il se sauve.)
BERTRAND.
Parbleu, je le crois bien que je ne dirai rien. Mais à qui en a-t-il donc ? Allons, il est fou !
Scène VIII.
M. SCUDÉRI, mademoiselle SCUDÉRI, BERTRAND,
BASTIEN.
BASTIEN.
BASTIEN.
Entrez, entrez, monsieur.
SCUDÉRI, d’un ton brusque.
C’est bon.
BASTIEN.
Désirez-vous des rafraîchissemens ?
SCUDÉRI.
Non.