Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
BABET.
Mais c’est que vous demandez des choses impossibles.
Scène VI.
Les précédens, BASTIEN.
BASTIEN.
Restez, restez ; que je ne vous dérange pas. (À Babet.) C’est donc ainsi, perfide !…
FLORVAL.
Air : Monsieur Baussac, c’est bien méchant.
Pourquoi ce bruit et ce courroux ?
Pour un époux, qu’il est jaloux !
BABET.
Pourquoi ce bruit et ce courroux ?
Il sera donc toujours jaloux !
BASTIEN.
J’ai bien raison d’être en courroux ;
Je suis époux, je suis jaloux.
Scène VI.
Les précédens, BERTRAND.
BERTRAND, continuant l’air.
Pourquoi ce bruit ? paix là ! paix là !
J’espère enfin qu’on se taira.
Silence ! grande nouvelle ! voilà deux voyageurs qui entrent dans la cour ; leur voiture s’est brisée au bas de la montagne.