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On lui doit la victoire,
La paix et le repos.

PIÉTRO ET LES CONJURÉS.

De le frapper j’aurai la gloire :
Il ne mérite plus de marcher dans nos rangs ;
Au milieu des chants de victoire
Qu’il tombe comme nos tyrans !

(Masaniello est monté sur son cheval au milieu du peuple qui se presse autour de lui, et environné de danses. Pendant ce temps, Piétro et les conjurés le menacent de leurs poignards. Fenella, qui est près de Piétro, l’examine avec crainte, et pendant que le cortége s’empresse autour de son frère, ses regards inquiets s’élèvent vers le ciel, et semblent prier pour lui.)


FIN DU QUATRIÈME ACTE.