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ISABELLE.

C’est pour moi qu’en ces lieux il brave leur colère,
Hélas ! et je ne peux l’arracher de leurs bras !
Au destin qui l’attend rien ne peut le soustraire,
Et le jour doit demain éclairer son trépas.

ALICE ET RAIMBAUT.

C’en est fait, vainement il brave leur colère ;
Rien, hélas ! ne pourrait l’arracher de leurs bras.
Au destin qui l’attend rien ne peut le soustraire,
Et le jour va demain éclairer son trépas.

(Les hommes d’armes se précipitent sur Robert et l’entraînent, tandis qu’Isabelle retombe, évanouie sur son lit de repos. Les femmes s’empressent autour d’elle, et Alice, à genoux et soutenue par Raimbant, semble encore prier pour Robert.)


FIN DU QUATRIÈME ACTE.