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n’avais retrouvé ce papier-là que le lendemain de mes noces, jugez de ce qui serait arrivé…
Scène VI.
HANTZ, REYNOLDS.
HANTZ, entrant mystérieusement.
Ah mon maître ! mon cher maître ! vous voilà. Je voudrais bien vous parler.
REYNOLDS.
C’est facile.
HANTZ.
Je le sais bien, mais le difficile, c’est que vous m’écoutiez… et cependant il y va de votre bonheur.
REYNOLDS.
Qu’est-ce que c’est ?
HANTZ.
Vous m’avez appris ce matin votre mariage, et je n’ai rien dit, parce qu’avec vous, il n’y a pas moyen… mais cette nouvelle-là m’a donné pour vous le frisson, depuis les pieds jusqu’à la tête.
REYNOLDS.
Et pourquoi ?
HANTZ.
Je me disais : Monsieur qui ne pense à rien, ne pensera jamais qu’il est marié.
REYNOLDS.
Je ne pense à rien !…
HANTZ.
Non, monsieur, car ce matin encore, au moment