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HANTZ, le suivant toujours.
Mais, monsieur…
Scène XI.
Les précédens ; SCHULTZ.
SCHULTZ.
Eh bien ! partons-nous ? sommes-nous prêts ? Comment ! sa toilette même n’est pas commencée ?…
HANTZ.
Vous voyez ; j’attends que monsieur veuille s’y prêter un peu.
SCHULTZ.
Eh ! parbleu ! si tu le consultes, nous n’en finirons jamais. (Tirant Reynolds par le bras.) Allons, mon cher ami, allons, il faut nous hâter.
(Hantz lui ôte sa redingote ; puis Schultz le fait asseoir dans le fauteuil. Reynolds, tenant toujours sa plume et un papier, se prête à leurs soins. Il s’assied et pendant ce temps, Hantz lui ôte ses souliers, et lui met ses bas de soie qu’il attache à sa culotte courte.)
SCHULTZ, qui s’est assis auprès de la table, causant avec lui.
Vous avez terminé avez ce jeune homme ?
REYNOLDS, écrivant toujours sur son genou ou sur le dos de Hantz qui arrange sa chaussure.
Ah ! oui, il faudra que vous lui parliez… je n’ai pas trop compris ; aussi, je lui ai dit de s’entendre avec vous… Son adresse est la sur cette table.
SCHULTZ, lisant.
« Frédéric Stop, sous-lieutenant, au régiment de l’archiduc Charles. » Est-il possible !.. C’est le fils de votre ancien professeur…