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HANTZ ET FRÉDÉRIC, criant ensemble.
Dix florins.
REYNOLDS, fouillant dans sa poche.
Eh ! si ce n’est que cela… tenez, monsieur, en voilà vingt-cinq, et faites-moi le plaisir de me laisser tranquille.
FRÉDÉRIC, s’appuyant sur la table, et jetant par terre un gros volume.
Qu’est-ce que c’est ?
REYNOLDS, se levant avec vivacité.
Ah ! mon Dieu ! mon Tacite qui est par terre !… mon Tacite, et toutes mes annotations.
(Il ramasse les papiers qui étaient dans le livre.)
FRÉDÉRIC, étonné.
Air de Turenne.
Quoi ! lui que rien n’étonnait ?…il s’irrite,
Parce que j’ai renversé ses bouquins !…
REYNOLDS.
Qu’osez-vous dire ? un bouquin ! mon Tacite !
Tous mes héros… mes empereurs romains !
FRÉDÉRIC, riant.
Ils sont à bas !
REYNOLDS, avec colère.
Ô barbarie ! ô Vandale ! ô délire !
HANTZ, cherchant à l’apaiser.
Quoi ! dans la chute de cet in-octavo ?
REYNOLDS.
Il me semblait assister de nouveau
À la chute du bas-empire.