maîtresse, mais si je vous y accompagnais… (regardant Edmond.) Edmond a tressailli.
Vous, monsieur, qui ne venez jamais chez ma tante, qui êtes brouillé avec elle ?
Cela la contrarie.
Comme vous le disiez ce matin, cela paraîtrait fort singulier. D’ailleurs, vous avez, sans doute, pour votre soirée d’autres occupations, plus agréables, qui vous retiendront.
Ils sont d’accord. (haut à Caroline.) De quelles occupations voulez-vous parler ?
Que sais-je ? de celles que les maris ont toujours, et que les femmes ne peuvent connaître.
Quelle idée ! soupçonnerait-elle ?…
Je vous laisse, monsieur. (passant entre Denneville et Edmond. À Edmond.) À tantôt, monsieur Edmond.
Adieu donc, adieu, madame,
Ah ! n’allez pas oublier
L’honneur qu’ici je réclame ;
Je suis votre chevalier.