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métique, ne fait plus que guetter son fils pour l’empêcher de vous voir ; si bien qu’il est toute la journée à fermer sa porte, et lui à passer par la fenêtre.
Air du vaudeville de Ninon.
Mais je vois bien qu’il a beau faire,
Tous ses calculs sont en défaut ;
En bas, s’il vous tient prisonnière,
Il a soin d’l’enfermer là-haut !
C’est en vain qu’il murait la f’nêtre,
Que d’grill’il nous f’rait entourer :
On dit qu’l’Amour est un p’tit traître
Qui trouv’partout moyen d’entrer !
Scène II.
Les précédens ; CHARLES,
paraissant sur le haut du mur à droite.
paraissant sur le haut du mur à droite.
CHARLES.
Élise ! Élise ! c’est moi !
JEANNETTE, l’apercevant.
Qu’est-ce que je disais ? Eh bien ! v’là des deux côtés des leçons bien apprises.
CHARLES.
Écoute donc, Jeannette, pourquoi mon père veut-il faire de moi un savant ?
ÉLISE.
Sans doute ; Charles a étudié assez long-temps.
CHARLES.
J’ai dix-sept ans passés, que veut-on que j’apprenne encore ?