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FRÉDÉRIC.
Je suis, ainsi que ma femme,
Sensible à tant d’amitié.
Enfin… enfin… je suis donc marié.
DORMEUIL, FRÉDÉRIC, LE CHŒUR.
ENSEMBLE.
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âme est émue, |
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bonheur. |
CÉCILE.
Ah ! que mon âme est émue !
Non, rien n’égale mon malheur.
GUSTAVE.
Oui, pour jamais je l’ai perdue !
Non, rien n’égale ma douleur.
(Pendant ce premier ensemble, tous les parens ont signé, et Baptiste ainsi que plusieurs domestiques, arrivent tenant des flambeaux.)
FRÉDÉRIC, à Dormeuil et à Gustave.
Mais vous ferez tantôt connaissance, j’espère,
Car mon ami reste avec nous, beau-père,
Il couche ici, je viens de l’engager.
DORMEUIL.
Mais où veux-tu donc le loger ?
FRÉDÉRIC.
Pour qu’il soit bien, moi j’ai pris mes mesures ;
Il aime à voir les revenans de près,
C’est pour cela que je lui donne exprès
Le pavillon aux grandes aventures,
Celui du jardin.
BAPTISTE, effrayé, bas à son maître.
Grands dieux !
Nous sommes perdus tous les deux.
CHŒUR.
Bonsoir, monsieur, à demain.