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Scène VI.

Les précédens ; MARIE.
FRÉDÉRIC.

Avertis M. Dormeuil que mon ami intime… que M. Gustave de Mauléon…

MARIE.

Ah ! mon dieu ! Comment, c’est monsieur, qui… que… certainement… Monsieur… Je ne croyais pas…

FRÉDÉRIC.

Eh bien ! qu’est-ce qu’elle a donc ? C’est la femme-de-chambre et la confidente de ma femme ; une fille d’esprit, quand elle n’a pas de distractions. Voici M. Dormeuil et sa fille.


Scène VII.

Les précédens ; DORMEUIL, CÉCILE.
FRÉDÉRIC.

Beau-père, voilà un de mes bons amis que je vous présente.

DORMEUIL, saluant sans le regarder.

Certainement, monsieur… (Levant les yeux.) Grands dieux !

CÉCILE, qui a fait une révérence, le regarde à son tour, et fait un geste de surprise.

C’est lui !